Art de vivre

MA SANTÉ un jour à la fois arrive en kiosque

le jeudi 17 mars 2016
Modifié à 0 h 00 min le 17 mars 2016
Par Joëlle Bergeron

joelle_bergeron@gravitemedia.com

MA SANTÉ un jour à la fois, une nouvelle revue dont le premier numéro atterrissait en kiosque aujourd'hui, célèbre les courbes de la femme. Dans cette publication axée sur le mieux-être, exit les mots diète et régime, clame son éditrice Natacha Watier.

«Le fameux perdez 10 kilos avant l’été, je ne veux rien savoir de ça, affirme-t-elle. Pour ma revue, j’avais envie de parler de santé, de remise en forme et pas de quête de la minceur.»

Pour ce faire, la résidente de Chambly a regroupé des collaboratrices de tout horizon, dont Nataly St-Martin, de Saint-Constant. Passionnée de course, l’éducatrice en CPE signe la chronique Nataly et ses selfies!

«Dans chaque course où je vais, je prends des photos avec des gens, qu’ils soient connus ou non, indique Mme St-Martin. Je ne suis pas gênée, alors je parle beaucoup aux autres. C’est ma façon de vivre chaque événement.»

«Nataly est tellement rassembleuse que je me suis dit que ça me prenait une fille comme elle pour motiver ceux qui désirent se mettre à la course à pied», ajoute Mme Watier.

Dans son premier papier, la chroniqueuse met la table en racontant son parcours et les raisons qui l’ont poussée à chausser les espadrilles. Pour les prochains numéros, Mme St-Martin compte donner le pouls de chaque course à laquelle elle prendra part, en rapportant également des témoignages d’autres participants.

Inspirer

MA SANTÉ un jour à la fois paraîtra aux deux mois, six fois par année. La revue s’adresse à ceux qui sont inactifs, qui veulent se prendre en main et qui cherchent des modèles inspirants.

En plus des articles d’experts sur la nutrition et la mise en forme, de nombreux témoignages comme celui de Sylvie Castonguay, qui était obèse morbide, ou celui d’Élie, qui a été anorexique, jalonnent les pages du magazine.

«Une personne qui a 30 livres à perdre pour régler un problème de genou et qui lit sur une fille qui en a perdu 250, se dit que si cette fille-là est capable, elle aussi!» estime Mme Watier.