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Sept histoires d’animaux marquantes cette année

le vendredi 28 décembre 2018
Modifié à 15 h 21 min le 28 décembre 2018
Par Vicky Girard

vgirard@gravitemedia.com

Une Laprairienne aperçoit un coyote en plein jour

Extrait de l’article publié le 9 mars Les preuves s’accumulent à l’effet que des coyotes sont présents à La Prairie. Voilà qu’une résidente en a aperçu un derrière chez elle, en plein jour, il y a moins d’un mois. «Je suis restée vraiment surprise, raconte Jacqueline Blais, résidente de la rue du Parc-des-Érables. J’ai saisi mes longues vues qui étaient sur la table pour le regarder par la porte patio.» En cet après-midi, l’animal se trouvait sous les pylônes d’Hydro-Québec dans le champ situé derrière chez elle. Un ruisseau les séparait. «Quand je l’ai vu, il était arrêté. Puis, il s’est mis à courir», poursuit-elle. Observatrice de la faune à ses heures, elle n’en avait jamais vu avant. «J’ai souvent vu des renards, des lièvres ou des petits animaux, mais jamais de coyotes. Ça ressemble à un chien.»

Envahi par les ratons laveurs

Extrait de l’article publié le 13 juin Une famille de ratons laveurs ont accaparé le balcon de citoyens à Sainte-Catherine et ont causé des dommages considérables. «Il y a deux femelles. Une qui semble blessée et agressive. On a compté six ou sept bébés, si ce n’est pas plus, et il y a une autre famille avec un gros mâle», a raconté Robert Fontaine. En quelques jours, les ratons laveurs ont ravagé le spa du couple pour s’en faire un abri. Ils s’en sont aussi pris à la boîte électrique, qui a disjoncté, laissant les résidents sans électricité. Mme Robitaille ne peut plus laisser sortir son chien dans sa cour comme elle en avait l’habitude, de peur qu’il soit attaqué. Le phénomène n’est pas nouveau, mais il a toutefois été différent ce printemps. «On les voit chaque année, mais jamais aussi proche et aussi nombreux», ajoute-t-elle. Elle a aussi aperçu «le gros mâle» sur le terrain d’un autre voisin. Le chat de ce dernier a eu peur. Les deux animaux étaient sur le point de se battre quand le propriétaire du félin l’a «attrapé par la queue pour le rentrer juste à temps».

Un renard aperçu à Sainte-Catherine

 Extrait de l’article publié le 11 juillet  Un résident de Sainte-Catherine et son épouse ont vu un renard qui se promenait sur la rue Alfred-Pellan à l’intersection Alfred-Desrochers. «Mon épouse Nicky l’a vu et m’a lancé: Regarde dehors il y a un bizarre de chien», a raconté Philippe Carrière qui a accouru à la fenêtre. L’homme est sorti pour prendre le renard en photo. «Il s’est retourné et a marché en ma direction lorsqu’un oiseau est passé au-dessus de lui. Il a été distrait et a changé de direction», a-t-il expliqué. L’animal est parti en courant pour entrer dans le parc Terry-Fox (fox signifiant renard en anglais). «Cette partie est un peu drôle, constate M. Carrière mais c’est quand même bien vrai!»

Un couple s’implique en élevant des chiots Mira

 Extrait de l’article publié le 10 octobre Chevy est le 4e chiot qu’élèvent Manon Lefevbre et Pierre Bisaillon pour la Fondation Mira. Le couple de Saint-Constant est devenu famille d’accueil pour la cause en 2015, une expérience qu’il qualifie de gratifiante et qui se terminera dans quelques mois lorsque la femelle les quittera. Étant une femme impliquée, Mme Lefevbre désirait être famille d’accueil pour la Fondation Mira depuis une vingtaine d’années. Son mari, lui, admet que dans le cadre de ses fonctions militaires, il hésitait. Les poils sur son uniforme étaient, entre autres, un irritant pour lui. Néanmoins, lorsque les enfants ont quitté le nid familial, M. Bisaillon a décidé de tenter le coup. «On a contacté Mira et ça a pris environ un an avant d’avoir un chiot», indique-t-il. «Ce sera notre dernière, laisse savoir la propriétaire de Chevy. C’est pour ça qu’on a choisi ce type de chien, c’est vraiment le chien Mira.» Le couple avoue que ça devient demandant et qu’il souhaite préparer sa retraite bientôt. 

Un chaton vivant jeté aux poubelles avec sa litière

 Extrait de l’article publié le 21 septembre  Lucie Cardinal Tessier et sa colocataire Caroline Sauvé se rendaient à leur voiture en cette matinée du 20 septembre lorsqu’elles ont entendu des miaulements provenant d’un conteneur à déchets près de leur appartement à La Prairie. «Nous entendions miauler, mais le conteneur étant profond et on ne voyait pas très bien. Je me suis donc dirigée vers le côté droit pour mieux voir. C’est alors que j’ai vu bouger un sac pris dans les pattes d’un fauteuil», raconte Mme Cardinal Tessier. Réalisant qu’un chat se trouvait dans un sac à ordures noué, cette dernière s’est mise, pour reprendre son expression, en «mode panique». «J’ai dit à ma coloc: “Il faut le sortir de là! Ça bouge dans le sac”. Nous avons versé un des bacs de recyclage sur le côté afin de pouvoir atteindre le sac, mais il était toujours coincé», poursuit la bonne samaritaine. Les deux femmes ont demandé de l’aide à un voisin qui se rendait à sa voiture et les regardaient d’une drôle de façon. «Caroline a alors été en mesure de sortir le sac pour me le donner», déclare la principale intéressée. À lire aussi: Une famille d’accueil pour le chaton retrouvé dans les poubelles

Une Candiacoise et son Rottweiler accumulent les trophées

 Extrait de l’article publié le 7 novembre Il y a longtemps que Rudy maîtrise les commandes «assis» et «couché». Maureen Gray a fait de son Rottweiler un champion décoré de plusieurs titres remportés dans des compétitions canines au Canada et aux États-Unis. Le chien de 4 ans officiellement nommé Gopher Von Rudental, mais surnommé Rudy, vient de l’Allemagne. Sa maîtresse l’a fait venir du pays à 13 semaines et à son troisième jour avec elle, il débutait son entraînement. Dans la dernière année, le Rottweiler a eu son classement V, qui signifie excellence. Rudy a également plusieurs titres jugés sur son tempérament, sa qualité de reproduction basée sur des critères de la race et pour ses habiletés à pister avec l’odorat.

Gravité Média reçoit la visite d'un cochon vedette

 Extrait de l’article publié le 12 décembre Le cochon Christopher est passé aux bureaux de Gravité Média, qui abritent aussi ceux du journal Le Reflet, le 12 décembre, en après-midi. Sa visite n’est pas passée inaperçue, puisque tous les collègues ont accouru pour voir l’animal. Leurs maîtres ont dû répondre à de nombreuses questions. On a pu apprendre que Christopher a deux ans et demi, qu’il mange des céréales Cheerios et des légumes, perd son poil l’été, met de la crème solaire bio et ne raffole pas de mettre son nez dehors en hiver. Pesant 150 livres, Christopher est une vedette des réseaux sociaux. Il a plus de 65 000 abonnés sur sa page Instagram Christopher the pig. Nos collègues du Brossard Éclair ont déjà écrit son histoire.