Une chauffeuse de taxi vraisemblablement sous l'effet du cannabis a été arrêtée

Le policier a alors détecté une odeur de cannabis à bord du véhicule en plus d’observer des éléments dans le comportement de la conductrice qui l’ont amené à lui faire subir les épreuves de coordination de mouvements. À la lumière des résultats obtenus, il a procédé à son arrestation pour conduite avec les capacités affaiblies par la drogue et lui a ordonné de se soumettre à l’évaluation menée par un agent évaluateur.

Une fois au poste de police, la dame a dû passer les 12 étapes prévues en matière de conduite avec les capacités affaiblies par la drogue. La dernière étape consiste à devoir fournir un échantillon d’urine qui sera analysé afin de déterminer s’il y avait présence de cannabis dans son organisme.

Si elle est reconnue coupable, elle perdra son permis pour une période de 12 mois en plus de devoir payer une amende pouvant aller jusqu’à 2000 $. En ce qui concerne les chauffeurs de de taxi, ils sont également soumis à la tolérance zéro alcool.

Ces évaluations sont enregistrées sur bande vidéo et audio qui serviront de preuve lors du procès. Au SPAL, tous les patrouilleurs ont reçu une formation afin de détecter la conduite en capacités affaiblies par la drogue.

Le SPAL est le corps de police qui compte un grand nombre d’agents évaluateurs qui sont chargés de faire passer les 12 étapes de l’évaluation qui consistent à déterminer si la personne avait ou non les capacités affaiblies.