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École Jacques-Leber : pas de quatrième et cinquième secondaire en 2026-2027

Il y a 2 heures
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Par Tristan Ouimet, Initiative de journalisme local

touimet@gravitemedia.com

L’école Jacques-Leber, à Saint-Constant, n’accueillera pas des élèves de quatrième et secondaire secondaire, à la rentrée 2026-2027. (Photo : Le Reflet – archives)

Le redécoupage des bassins géographiques des écoles secondaires des secteurs Nord et Nord-Ouest du Centre de services scolaires des Grandes-Seigneuries (CSSDGS) pour l’année scolaire 2026-2027 est suspendu. L’école secondaire Jacques-Leber à Saint-Constant n’accueillera donc pas d’élèves de quatrième et cinquième secondaire en 2026-2027. 

«L’adoption d’un nouveau redécoupage des bassins géographiques au secondaire pour l’année scolaire 2026-2027 a été suspendue autant pour Saint-Constant que pour les secteurs de Saint-Mathieu et de La Prairie», informe Hélène Dumais, directrice adjointe au Service des communications du Centre de services scolaire. 

«Si un redécoupage s’avérait nécessaire pour 2027-2028, le CSSDGS soumettra les nouveaux scénarios à la consultation», ajoute-t-elle.

À la rentrée 2026-2027, où la future école Jacques-Leber pourra accueillir des élèves, les services offerts à Jacques-Leber pour 2026-2027 demeureront les mêmes, c’est-à-dire, la 1re à la 3e secondaire pour le secteur régulier, le profil hockey et le profil VIES.

De plus, les conditions d’admission et la localisation des programmes et profils de 1re secondaire resteront inchangées dans le secteur. 

Tous les élèves qui seront admis dans l’un des profils offerts à l’école Jacques-Leber pour l’année 2026-2027 pourront y compléter leur parcours de trois ans.

Cession de terrains

Rappelons que la Ville de Saint-Constant s’est engagée à céder des terrains additionnels au CSSDGS ; une cession qui permettrait de conserver le bâtiment actuel de Jacques-Leber, en plus d’avoir la future école, pour accueillir plus d’élèves. 

La Municipalité avait agi ainsi, puisque dans le premier scénario impliquant le redécoupage, les élèves de l’école Piché-Dufrost auraient dû faire leurs études secondaires à l’école de la Magdeleine à La Prairie, plutôt qu’à Jacques-Leber à Saint-Constant, faute de place.

«Le dossier est actuellement à l’étude et en attente de la décision des autorités compétentes, précise Hélène Dumais. Dès que cette décision sera connue, nous partagerons un état complet de la situation et informerons le personnel et les parents des élèves concernés des prochaines étapes.»

Plusieurs parents avaient dénoncé ce premier scénario.

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