Alain Therrien sollicite un deuxième mandat dans La Prairie
Les pancartes annonçant la candidature d'Alain Therrien sont installées dans la circonscription. (Photo Le Reflet - Érick Rivest)
Le député sortant de la circonscription fédérale de La Prairie Alain Therrien fait savoir qu'il brigue un deuxième mandat sous la bannière du Bloc québécois en vue des élections du 20 septembre.
Par voie de communiqué, le leader parlementaire de son parti affirme qu'il «adore ce qu'il fait» et qu'il souhaite poursuivre le travail entamé dans le comté formé des municipalités de Candiac, Delson, La Prairie, Saint-Constant, Sainte-Catherine, Saint-Mathieu et Saint-Philippe.
Celui qui avait remporté le scrutin en 2019 avec près de 3 000 voix d'avance devant Jean-Claude Poissant du Parti libéral révèle qu'il espère désormais développer une Agrovision, puis faire de la région du Roussillon «une plaque tournante en la matière», et ce, en collaboration avec le campus de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) à Saint-Constant.
À propos de l'ouverture du campus universitaire en janvier 2021, Alain Therrien rappelle que ce dossier était l'une de ses trois priorités.
«Plusieurs jeunes, et parfois moins jeunes, pourront poursuivre leur parcours académique ici, à quelques pas de la maison, mais également les milieux économique, culturel, social et politique de notre région pourront bénéficier de leurs experts, instituts et chaires de recherche pour mettre en place des projets qui répondront à nos besoins», dit-il.
«J’aime ma région, j’aime mon comté, j’aime ce que nous sommes, j’aime être à votre service et c’est pour cela que j’ai envie de poursuivre l’aventure avec vous.» - Alain Therrien
Le candidat bloquiste salue également l'avancée de ses deux autres engagements, soit l'accès à Internet haute vitesse pour tous les citoyens et l'érosion des berges de la rivière Saint-Régis.
«Vidéotron a annoncé que tous seront branchés d’ici quelques mois et le comité de travail que j’ai mis sur pied a fait un travail colossal pour déposer un projet d’envergure, déjà bien accueilli, au Fonds d’atténuation et d’adaptation en matière de catastrophes; un programme fédéral qui pourra payer près de 20 millions de la facture pour les travaux de stabilisation des berges, entre autres», informe-t-il.