Les cheerleaders du Centre Coyotes finissent leur saison sur une bonne note
Cinq équipes se sont particulièrement démarquées en fin de saison. (Photo gracieuseté)
Trois équipes de cheerleaders du Centre Coyotes à Candiac ont conclu la saison de compétition en performant aux Championnats mondiaux à la fin du mois d’avril. Faute de médailles, elles sont revenues de la Floride empreintes de fierté. Deux autres formations sont quant à elles championnes nationales.
L’équipe Wrecking Pack au niveau 5 mondial s’est rendue en finale et a terminé au 6e rang, avec moins de 2 points d’écart la séparant de la deuxième position, partage Marie-Sophie Morin, directrice du Centre Coyotes.
«La compétition était très serrée […] l’équipe a offert une performance sans faute en finale. Arriver si près du podium a donné l’envie à plusieurs de déjà préparer la prochaine saison», dit-elle.
De son côté, durant la même compétition WORLDS, la formation Ferocious Pack a accédé à la demi-finale. Elle s’est néanmoins classée 27e sur plus de 60 dans une des plus grosses catégories, au niveau 6 mondial, souligne Mme Morin.
«Pour la grande majorité de l’équipe, il s’agissait d’une première expérience aux Championnats du monde. Elles sont fières de la performance livrée et d’avoir vécu cette expérience ensemble», fait-elle savoir en ajoutant que les athlètes sont également prêtes pour la prochaine saison.
Finalement, l’équipe Ruthless Pack participait au Championnat du monde junior Summit, mais n’a pas accédé aux finales, terminant 48e sur 62 équipes au niveau 2.
Toutes les cheerleaders de la formation en étaient à leur première compétition d’envergure mondiale. Mme Morin confie «qu’elles ont profité de chaque moment en équipe et qu’elles reviennent au Québec avec plein de beaux souvenirs».
@ST:Championnes nationales
@R:Deux équipes du Centres Coyotes prenaient part à la compétition nationale qui s’est déroulée à Niagara Falls, les 5 et 6 avril. Cruel Pack (U17 niveau 2 prep) et Savage Pack (U17 niveau 3) se sont toutes deux décorées du titre de Championne nationale. La première affrontait une équipe rivale, alors que l’autre se mesurait à six autres équipes.
