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VIDÉO - La mairesse de Sainte-Catherine honorée à la Chambre des communes

le vendredi 11 juin 2021
Modifié à 7 h 54 min le 11 juin 2021
Par Vicky Girard

vgirard@gravitemedia.com

Jocelyne Bates en est à son septième mandat en tant que mairesse de Sainte-Catherine. Photo: Le Reflet - Archives

Les députés fédéraux de La Prairie et de Brossard – Saint-Lambert, Alain Therrien et Alexandra Mendès, ont rendu hommage à la mairesse de Sainte-Catherine Jocelyne Bates à la Chambre des communes alors qu’elle célèbre 30 ans de vie politique municipale. 

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«Moi, je suis incapable de l’appeler autrement que madame, cette femme d’exception au sourire marquant, a exprimé M. Therrien. Ce n’est pas rien de travailler en politique d’emblée, mais 30 ans dans un palier du gouvernement où la proximité avec le citoyen est telle, ça en dit long sur la femme qu’elle est.»

Ce dernier a souligné l’amour que voue Mme Bates pour sa Ville, «comparable à l’amour d’une mère pour sa progéniture», en plus de sa façon de bien connaître sa Municipalité, de la défendre, de prendre les armes et d’aller au front pour ses citoyens.

 «Elle tient son bout et prend sa place», a-t-il également partagé. 

Le député du Bloc québécois a ensuite ajouté s’être mis d’accord, «peut-être une première dans cette Chambre», avec sa collègue de Brossard pour dédier tous deux leur déclaration à la mairesse de Sainte-Catherine. 

Quant à Mme Mendès, elle a déclaré que «la longévité de la carrière de Jocelyne Bates est en grande partie due à ses indéniables talents de rassembleuse». 

La députée libérale a été citoyenne de Sainte-Catherine durant 7 ans et se dit l’amie de Mme Bates depuis une vingtaine d’années. Elle a félicité la mairesse pour sa carrière politique empreinte de projets porteurs autour desquels elle a su réunir ses citoyens. 

«Je salue son acharnement à rehausser le caractère riverain de la Ville de Sainte-Catherine, a-t-elle soutenu. Le Saint-Laurent et sa voie maritime sont des pôles de développement cruciaux et elle ne nous laisse jamais l’oublier.»

Les nombreux rôles avec lesquels Mme Bates jongle depuis trois décennies, dont la direction de la Régie intermunicipale de police Roussillon, «ont toujours permis de garder un juste équilibre entre le rêve visionnaire et le plancher des vaches», a-t-elle terminé.