Un joueur des Canadiens remet une bourse de 5 000 $ à l’école Jacques-Leber

Les multiples implications sociales des élèves et du personnel de l’école secondaire Jacques-Leber ont touché le joueur des Canadiens de Montréal Phillip Danault et sa conjointe qui ont décerné leur prix «Équipe étoile» à l’établissement scolaire de Saint-Constant. La récompense est accompagnée d’une bourse de 5 000$ versée par l’entremise de la Fondation Jasmin Roy Sophie Desmarais, dont l’attaquant de 26 ans et son épouse Marie-Pierre Fortin sont les ambassadeurs. La mention «Équipe étoile» vise à honorer une école, primaire ou secondaire, qui se démarque «sur le plan du développement de saines habitudes de vie émotionnelles et relationnelles dans les sports ou les activités physiques». Depuis plusieurs années, l’école Jacques-Leber organise des activités à vocation sociale, dont le Relais pour la vie jeunesse, le tournoi de hockey Festival pour la vie, la collecte de sang Héma-Québec et l’Escouade du bonheur. Chacune de ces initiatives soutenues par les élèves visent à faire d’eux «des gens capables de tendre la main», souligne Catherine Pichet, directrice adjointe de l’école. «C’est important pour nous qu’ils deviennent des citoyens engagés qui n’hésitent pas à aider les autres», ajoute-t-elle. Mme Pichet ignore de quelle façon la bourse sera utilisée, mais elle assure qu’elle sera investie auprès des élèves «afin qu’ils puissent continuer à réaliser leurs bonnes actions». La décision sera prise conjointement avec le comité des élèves, précise-t-elle. Vidéo C’est la première fois que l’école Jacques-Leber soumettait sa candidature à ce concours. Dû à un conflit d’horaire, les élèves n’ont pas pu rencontrer le couple afin de recevoir le chèque en personne. Phillip Danault et sa conjointe ont néanmoins fait parvenir une vidéo dans laquelle ils remercient les élèves pour leur implication dans la communauté. «Il se passe de belles choses dans le milieu scolaire, notamment à l’école Jacques-Leber et nous sommes fiers de recevoir cette reconnaissance», conclut Mme Pichette.